Diantre, pas un billet en une semaine. Tiens, c'est l'occasion de sortir la citation du jour :

De tous ceux qui n'ont rien à dire, les plus agréables sont ceux qui se taisent. (Coluche)

Je peux désormais être désagréable et causer travaux. J'y ai passé trois soirs cette semaine et l'après-midi de samedi. Comme je n'ai pas encore eu le temps de m'occuper de la préparation des gros travaux d'abattage de cloisons (contacter les voisins pour faire un état des lieux avec huissier, contacter mon assurance pour voir si je suis couvert en cas de dommages causés aux voisins…), je m'en tiens pour l'instant aux travaux légers, c'est-à-dire me débarraser de l'atroce papier peint et, à certains endroits, faire aussi sauter le plâtre pour découvrir complètement les briques.

Ce sont donc deux soirs que j'ai passés à gratter un mètre carré de papier peint avant de m'apercevoir qu'il était collé sur une couche d'enduit qui se détache bien plus facilement du plâtre que le papier peint ne se décolle de l'enduit. Donc, rebelote en faisant tomber l'enduit — qui par endroits ne se détache pas ou qui emporte le plâtre avec lui, d'où trous, d'où rebouchage à prévoir. Deux soirs de perdus, mais la suite ira plus vite.

Pour varier les plaisirs, j'alterne entre ça et ôter le plâtre qui cache les poutres en bois. Bois qui s'avère très friable et pas très joli… Je sens que tout ça va finir sous une couche de peinture.

Voilà donc, en ce moment, mes journées :

  • 8h30–18h30, boulot (à plein régime depuis deux mois) ;
  • 19h–21h, travaux.

Et comme il faut se détendre après tout ça, j'ai acheté hier une tonne de mangas et BD dont je me ferai un plaisir de parler dans un prochain billet.

Notez que je ne me plains absolument pas. La journée, mon boulot me plaît ; le soir, les travaux me changent les idées et le travail manuel me manquait.

Baladeuse